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https://www.liberation.fr/planete/2016/08/01/burundi-fachosphere-d-influence_1469773/
CAMPAGNE DE ‘LUCMICHELBASHING’ A PROPOS DU BURUNDI ET DE LA RDC :
‘QUAI DES BRUMES’ OU ‘FACHOSPHERE D’INFLUENCE’ ?
LUC MICHEL REPOND A LIBERATION !
« The PCN is not a far-right organisation »
– ANTISEMITISM WORLD REPORT 1993
(Institute of Jewish Studies, Jerusalem).
Celui que ses fans africain appellent “le rhinocéros de la géopolitique mondiale” fonce droit devant sur les plumitifs de Libération. Explication de cette charge …
Le 2 août, Luc MICHEL est en tournée politique au Canada, en compagnie du conseiller en communication du président du Burundi, Willy Nyamitwe, soulevant une campagne contre la Conférence à laquelle nous participions à Québec, non seulement dans la presse canadienne, burundaise d’opposition (groupusculaire) et européenne. Mais aussi au niveau de plusieurs gouvernements de l’OTAN, Canada, France, etc. paniqués de l’organisation dans une métropole atlantiste d’une conférence pro Bujumbura qui a mobilisé les burundais derrière leur président. Le Quai d’Orsay, en pointe contre Bujumbura et Kinshasa, lâche ses chiens. C’est alors que l’article de Libé est judicieusement publié pour appuyer ces attaques. Et que des diplomates africains sont approchés et mis en garde !
Derrière cet article il y a aussi deux hommes.
Le premier, Pierre Benetti, se trouvait au Burundi en même temps que Luc MICHEL, faisant le siège du Président Nkurunziza pour obtenir une interview, refusée. Interview qui a été accordée à Luc MICHEL, outre une audience publique et médiatisée (la seule interview du Président depuis le printemps 2015). On comprend son dépit …
Le second, Dominique Albertini (comme une certaine Françafrique, on trouve aussi les corses chez Libé), joue au journaliste sérieux, non politisé : « Il tranche par le sérieux de ses
analyses et son travail, bien loin des militants qui se cachent derrière une « expertise » parfois
très orientée politiquement. Albertini appartient à cette nouvelle génération de journaliste en
charge de l’extrême droite bien plus « propre sur elle » que l’ancienne, sans parcours politique
clivé ou engagement criant. » Fausse impression en tout cas en ce qui concerne son article contre Luc MICHEL, malhonnête, injurieux, 200% à charge. Albertini, comme toute la mouvance antifa alimentaire franco-belge, liée aux appareils d’état de l’OTAN, vit du FN. Livres, passages radio-TV, soutien médiatiques, carrière. D’autres y trouvent subventions et petits arrangements « entre amis ». Moi j’ai brisé les reins au FN belge, mon but est la dispaition définitive de ces gens. Et mon succès dans la Belgique des Années 1991-96 est unique. Là aussi le dépit (visible chez les clones belges d’Albertini) est une des explication de la haine et du « Michel Bashing » …
Au début on hausse les épaules devant les médiamensonges des petits Goebbels des médias de l’OTAN style Libé. Et puis on voit la méthode : quelques jours après apparait une nouvelle version de ma « fausse bio » sur Wikipedia, où Libé sert de référencer. Son article étant lui-même sourcé sur wikipedia, on appelle çà un cercle vicieux. Répondre devient alors un geste d’hygiène !
Avant de laisser la parole à Luc MICHEL, on notera encore l’incohérence de la méthode de Libé : deux grandes pages couleur pour un homme présenté comme « sans influence » … Qui en Afrique a l’oreille de plusieurs présidents et est un grand succès médiatique …
KH / PCN-SPO
# DROIT DE REPONSE DE LUC MICHEL, PRESIDENT DU PCN ET PRESIDENT DE PANAFRICOM, ADRESSE A ‘LIBERATION’ (PARIS)
Mise en cause par le journal LIBERATION dans un article intitulé « Fachosphère d’influence », publié le 02 août 2016, et également publié sur votre Site, Luc MICHEL, président du PCN et président de PANAFRICOM, tient à apporter les rectifications et précisions suivantes :
« QUAI DES BRUMES »
Puisque vous aimez les titres à clefs, je vous suggère plutôt que « Fachosphère d’influence » d’intituler cet article « Quai des Brumes ». Ce qui aurait le mérite de préciser les commanditaires et le but de cette charge violente, qui vise à jeter un écran de fumée sur ma vie et ma véritable action. Vous noterez que postérieurement à votre article, l’un des auteurs a publié un livre qui s’intitule précisément « La Fachosphère » et, bien qu’il cite à plusieurs reprises non seulement des Français mais des Belges dans celui-ci, je n’y suis pas mentionné et pour cause, je n’appartiens absolument pas à cette soi-disant « fachosphère » et n’y ai aucun contact.
Vous parlez à un moment donné de « flou », mais la seule chose qui est floue dans votre article, c’est votre déontologie. Il faut souligner le moment choisi pour la publication de cet article. Puisque c’est précisément au moment où ma visite au Canada, en compagnie du conseiller en communication du président du Burundi, Willy Nyamitwe, soulevait une campagne contre la Conférence à laquelle nous participions à Québec, non seulement dans la presse canadienne, burundaise et européenne, mais aussi au niveau de plusieurs gouvernements de l’OTAN (paniqués de l’organisation dans une métropole atlantiste d’une conférence pro Bujumbura), que votre article était judicieusement publié pour appuyer ces attaques.
Il faut enfin voir dans l’aigreur de votre article celle d’un de ses auteurs, Pierre Benetti qui se trouvait au Burundi en même temps que moi, faisant le siège du Président Nkurunziza pour obtenir une interview, refusée. Interview qui m’a été accordée (la seule du Président depuis le printemps 2015) …
DIABOLISATION
L’article ne cherche absolument pas à faire mon portrait, mais vise à me nuire. Il utilise une série de termes insultants qui révèlent votre volonté de nuisance : « personnage baroque », « fêlé », « mégalomaniaque », « s’étant fait des ennemis partout », « un peu fou », etc … Termes insultants provenant tous d’adversaires politiques ou médiatiques.
Vous mettez en outre en doute ma probité, laissant entendre que j’aurais été « arrosé par la Libye » (sic) et encore que les motivations de mon appui au Burundi seraient « vénales » (resic). Je vous mets au défi, et dans la ligne stricte des jurisprudences belges et françaises en matière de diffamation, d’apporter la moindre preuve de ce que vous avancez fort légèrement, le moindre document. Je n’ai pas l’avidité de la gauche-caviar pour le fric-roi, qui vous obsède !
LE BAL DES FAUX TEMOINS ET LA CHARGE DE MES ENNEMIS POLITIQUES
Pour mener ces attaques en dessous de la ceinture, vous utilisez une collection effarante de faux témoins, anonymes, sans doute inventés pour la plupart : « un homme ayant fréquenté la mouvance nationale révolutionnaire », « un ex-membre du PCN », « un ancien de la mouvance PCN », « une source proche du CNDD-FDD », « plusieurs observateurs » … Cette collection de témoignages ne reposant pas sur un seul document ou autre élément sérieux, est en outre appuyée par les témoignages de journalistes qui figurent non pas parmi ceux qui ont suivi sérieusement mon long parcours mais par des adversaires politiques.
* Le premier est Manuel Abramowitz, qui a écrit tout et son contraire sur moi et le PCN depuis de nombreuses années, mais ne m’a pas rencontré depuis quinze ans, réussissant au moment du Référendum de Crimée à émettre deux opinions rigoureusement opposées sur moi le même jour, dans un journal flamand et dans un journal tchèque. M. Abramowitz est un militant sioniste (il a été notamment candidat du parti israélien MAPAM) alors que moi j’ai commencé ma carrière politique dans la mouvance pro-Palestinienne en 1972 et que je reste un partisan résolu de la juste cause des Palestiniens. Abramowitz a longtemps été employé par le « Centre pour l’Egalité des Chances », un organisme belge dépendant directement des services du Premier Ministre belge alors que moi je suis partisan de la disparition du non-état belgicain (Je suis ce que l’on appelle un « rattachiste », partisan du retour de Bruxelles et de la Wallonie à la France). Abramowicz loin d’être un journaliste sérieux a notamment été condamné au pénal par les juridictions belges (61e Chambre correctionnelle du Tribunal de Bruxelles, 20 mai 2014) pour des méthodes non-compatibles et inacceptables dans le cadre de la déontologie journalistique.
* A la fin de votre article, vous donnez cette fois la parole à un journaliste Burundais Innocent Muhozi, qui fait partie de ces Burundais qui ce sont réfugiés et sont protégés par le régime de Kagamé, et qui combattent à côté du principal ennemi de leur pays. Ceci dit ce que vaut cette caution à votre article.
VENONS-EN A LA QUIRIELLE D’ASSERTIONS INEXACTES
ME CONCERNANT DANS VOTRE ARTICLE :
Je ne suis pas un « militant néonazi » et n’ai jamais appartenu, ni comme dirigeant, ni comme cadre ou membre, à l’organisation française mentionnée abusivement par Wikipedia. Ma soi-disant « biographie » sur Wikipedia (et ses clones d’extrême-droite), qui a été rédigée pour me nuire et me déconsidérer par mes adversaires politiques, liés aux polices politiques de l’OTAN, comporte des éléments inexacts et, mensonge par omission, dissimule une grande partie de mon parcours politique réel. Je vous met aussi au défi de produire un seul de mes nombreux écrits (j’ai publié plus de 16.000 éditoriaux depuis 1983) qui soit en faveur du Nazisme.
Les faits dissimulés par Wikipedia sont les suivants :
* Le PCN n’est pas un « parti d’extrême-droite » et encore moins « néonazi ». Accusation insultante proférée par nos adversaires politiques, en particulier au sein de l’appareil d’état belge. Les observateurs sérieux le constatent tous.
Par exemple, le COURRIER HEBDOMADAIRE DU CRISP (n° 1598-1599. 1998), revue scientifique belge de sciences politiques – la référence en Belgique nous a-t-on dit à l’ULB – écrivait sur le PCN en 1999 ce qui suit : « Le programme et les actions du PCN sont en opposition avec les thèses racistes des formations d’extrême droite classiques. Ce parti se revendique du « Communautarisme européen » et est constitué, selon un document interne, de 7 tendances politiques (nationale-boIchévique, léniniste européenne, syndicaliste révolutionnaire, nationale-révolutionnaire, vert radicale, socialiste radicale et démocrate européenne) ».
François Heinderyckx professeur à L’INSTITUT DES SCIENCES POLITIQUES de L’UNIVERSITE LIBRE DE BRUXELLES, classait le PCN à l’occasion des élections européennes de 1999 et sur base de son programme parmi la « gauche révolutionnaire » (Dossier spécial Elections 1999, analyse des campagnes, consulté sur le site internet d’INFONIE, Belgique).
A noter aussi que L’ANTISEMITISM WORLD REPORT 1993, publié à Jérusalem par l’Institute of Jewish Studies, dans son édition anglaise, si il reproche au PCN son antisionisme, précise que « The PCN is not a far-right organisation ».
* Je dirige depuis plus de 20 ans le COLLECTIF ANTINAZI « EUROPÄISCHER WIDERSTAND » (en référence à la Résistance allemande antinazie), qui combat précisément le néonazisme et le racisme. J’ai été l’adversaire principal du Front National en Belgique, à qui j’ai brisé les reins en 1994-96 par mes actions politiques et judiciaires victorieuses devant les tribunaux belges. Je combat aussi le FN des Le Pen. En 1998, à l’élection partielle de Toulon (France) en avril 1998, nous présentions une liste intitulée : « PCN. LES JEUNES CONTRE LE PEN ET POUR L’INTERDICTION DU FN ».
Notre Collectif a aussi combattu dans les pays baltes et en Moldavie pour le respect des droits des minorités ethniques, russophones notamment. Et contre la réhabilitation du nazisme par les états révisionnistes baltes et ukrainien.
Je n’ai aucune leçon d’antifascisme à recevoir de qui que ce soit !
PANAFRICANISME
Vous signalez que je fais du président du Burundi Nkurunziza un panafricaniste. Effectivement, je lui ai conseillé de s’affirmer dans cette mouvance. Il est aujourd’hui, depuis quelques jours, l’un des hommes les plus populaires parmi la mouvance panafricaniste et aussi de nombreux africains pour avoir initié le départ de la CPI des pays africains – le Burundi ayant été rejoint par l’Afrique du Sud et par l’Ouganda – c’est là l’une des causes principales du Néopanafricanisme aujourd’hui.
Vous signalez que l’opposition burundaise m’accuserait « d’être un néo-nazi ». Vous noterez que le journal IWACU, qui est le principal organe de cette opposition et se présente comme « le dernier media d’opposition au Burundi », a non seulement publié deux de mes droits de réponse concernant ce sujet mais a purement et simplement retiré ses articles m’accusant de son site internet. Cela suffit à démontrer ce que valent ces affirmations.
JAMAHIRIYAH LIBYENNE
Vous mettez en doute les responsabilités que j’ai exercées en Libye /
* Pour que l’on comprenne les méthodes que vous employez, vous prétendez qu’une photo de moi devant un portrait de Kadhafi serait un « photo-montage ». Je vous donne ici le lien d’autres photos où vous constaterez qu’il s’agit de la dernière réunion internationalE de soutien à la Libye que j’ai co-organisée avec la Ministère libyen des Affaires Etrangères en avril 2011 à Tripoli (sous les bombes de l’OTAN). Je suis sous un portrait officiel de Kadhafi lors de ce meeting international en compagnie du Vice-Ministre libyen des Affaires Etrangères, Kaled Kahim : https://www.facebook.com/ELAC.April.2011.Tripoli.Conference/photos/a.209271032440825.58139.201781129856482/209271059107489/?type=3&theater .
Il existe tout autant de nombreuses preuves sur internet de mes 20 ans d’activités en Libye. Notamment de très nombreuses photos, vidéo, articles de presse. Il vous aurait suffit de les rechercher. Mais votre article évidemment ne visait qu’à m’accuser à charge.
* Je vous informe que j’ai co-organisé les deux dernières activités politiques qui ont eu lieu en Libye :
juste avant les événements , dans les premiers jours de février 2011, le « 6e Forum européen du MEDD-RCM », le réseau pan-européen du Mouvement des Comités Révolutionnaires libyens que je dirigeais.
Et la « Réunion Internationale de soutien à la Libye en avril 2011 – Hands off Libya ».
Il en existe (et je vous en donne les liens) deux « pages spéciales événement » sur Facebook avec des centaines de photos et vidéo. Vous pouvez notamment y voir une vidéo en arabe où le Ministre Kaled Kahim me nomme (et ce seront mes dernières fonctions en Libye Jamahiriyenne) « président du Forum international des associations soutenant la Libye ». Vos lecteurs jugeront de vos méthodes.
https://www.facebook.com/ELAC.April.2011.Tripoli.Conference/
https://www.facebook.com/MEDD.RCM.6th.Forum/
EODE, ONG NON-ALIGNEE
L’ ONG EODE n’est nullement « au service d’élections douteuses ». Voici la liste des principales missions que nous avons dirigées : PMR (2006 Réfeéendum), ABKHAZIE (2007 Législatives), RUSSIE (2011 Duma), PMR (2011 Présidentielle), RUSSIE (2012 Présidentielle), ARMENIE (2013 Législatives), CAMEROUN (2013 Sénatoriales), MADAGASCAR (2013 Présidentielle), UKRAINE (2013 Législatives), CRIMÉE (2014 Referendum), SYRIE (2014 Présidentielle), DNR/ DONETSK REPUBLIQUE (2014 Législatives), SOUDAN (2015 Présidentielle), PMR (2015).
EODE travaille avec un extrême sérieux, mais est opposé évidemment aux organismes occidentaux de monitoring au service de l’OTAN et des Etats-Unis.
PANAFRICOM
Vous écrivez que ces « derniers temps », j’aurais « repris » une activité en Afrique. Mon parcours politique en Afrique qui a commencé en 1985, avec précisément la Libye, n’a jamais évidemment été interrompu, y compris après la chute de la Jamahiriya libyenne.
Vous écrivez aussi que « comme autre fois » je me serais « rallié au panafricanisme » que j’aurais substitué au néo-eurasisme. C’est tout à fait inexact puisque j’ai toujours eu une activité sur les deux continents. Et que je mène parallèlement, en y tenant exactement la même idéologie et le même discours, partout cette activité. Mon organisation internationale est structurée précisément en deux réseaux eurasien et panafricain, Lorsque vous m’avez interrogé longuement sur ce sujet, je vous avais donné ces précisions que vous avez omis de porter à la connaissance de vos lecteurs.
J’en viens aux raisons de mon voyage dont vous parlez au Burundi, en RDC et en Guinée-équatoriale au printemps 2016. Il faut quand même que vous compreniez quelque chose, c’est que je suis là, non pas parce que je dirige le PCN en Eurasie, mais parce que j’y dirige deux organisations africaines.
* Tout d’abord PANAFRICOM, qui est une organisation panafricaniste présente aujourd’hui dans 18 pays et qui a l’oreille précisément de ces chefs d’Etats qui voient dans le panafricanisme une alternative. PANAFRICOM (PANAFRIcan action and support COMmittees), défend le « Néopanafricanisme », des comités étant présent en Afrique, en Europe et au Canada. Le SG pour notre « réseau Afrique », Gilbert NKAMTO, est camerounais.
* Et aussi EODE-AFRICA, la branche africaine de cette ONG.
C’est en tant que président de PANAFRICOM que j’ai été reçu par les présidents équato-guinéen Obiang Nguema Mbassogo (avril 2015), tchadien Idriss Déby Itno (mars 2016), burundais Pierre Nkurunziza (mai 2016) et congolais Joseph Kabila Kabange (mai 2016).
J’ai pris la parole au nom de PANAFRICOM dans des réunions internationales consacrées au « nouveau Panafricanisme » : Colloque d’Abidjan (à l’Assemblée nationale, avril 2016), Conférence de Bujumbura (mai 2016), Café Politique du PPRD (Kinsasha, mai 2016), Conférence de Québec (juillet 2016).
Parallèlement à mon action en Europe depuis plus de 30 ans, menée autour du « Néoeurasisme » (réinventé par ma Revue CONSCIENCE EUROPEENNE en 1984) (*), j’ai un parcours panafricain de plus de 25 ans, commencé en Jamahiriyah libyenne avec le MCR, et qui m’a conduit à PANAFRICOM. Mais aussi à la TV panafricaine AFRIQUE MEDIA, où je suis éditorialiste et producteur d’émissions.
TELEVISIONS
Par ailleurs, je ne m’exprime pas sur « plusieurs sites » mais sur de nombreux sites, notamment de mon Groupe multimedia qui comprend aussi 5 web-télévisions. Cela étant dit, mon principal moyen d’expression, c’est la télévision.
Je suis producteur d’émissions de géopolitique (Le Grand Jeu, Grand Reporter, Edition Spéciale) sur la grande télévision panafricaine AFRIQUE MEDIA TV (qui n’est pas camerounaise , mais une chaîne de droit équato-guinéen, installée à Malabo, à Douala, à Yaoundé, à N’Djamena et à Luanda). Sur AFRIQUE MEDIA TV, outre ces fonctions de production, j’assure également des services de communications (notamment le Groupe officiel sur Facebook, plus de 105.000 membres, divers Blogs et Pages officielles) et surtout je figure comme expert (notamment pour l’émission Ligne Rouge) et comme panéliste. Je m’exprime donc sur AFRIQUE MEDIA TV plus d’une dizaine de fois par semaine. Et j’y suis extrêmement populaire auprès de son public africain. Je m’exprime aussi régulièrement sur des media d’État iraniens et russes.
En un mot de conclusion, votre article me serait extrêmement préjudiciable (et c’est son but) si je visais à être un politicien respectable en Europe occidentale. Mais je suis un ennemi du Système radicalement opposé à ce blog américano-occidental qui n’est que l’aire de distribution de Coca-Cola et de Mac Donald. Je combats l’OTAN. Je combats pour la Cause des Peuples, pour l’unité de l’Eurasie de Vladivostok à Reykjavik, pour l’unité panafricaine. Et pour un Axe géopolitique Eurasie-Afrique.
Luc MICHEL (25 octobre 2016)
(*) Cfr. PCN-TIMELINE / IDEOLOGIE / 1984 : LE PCN REINVENTE L’‘EURASISME’ MODERNE
sur http://www.lucmichel.net/2014/05/30/pcn-timeline-ideologie-1984-le-pcn-reinvente-leurasisme-moderne/
Et L’EURASIE EST UNE IDEE EN MARCHE. MAIS QUI PARLAIT DE L’EURASIE ET DE L’EURASISME IL Y A 30 ANS ?
sur http://www.lucmichel.net/2014/05/31/pcn-spo-leurasie-est-une-idee-en-marche-mais-qui-parlait-de-leurasie-et-de-leurasisme-il-y-a-30-ans/
* NOTE 1
The Belgian (Flemish) daily newspaper De Morgen already wrote in December 2022: “Michel will now act as a geopolitical entrepreneur to enlarge the Russian sphere of influence in Africa: “a group of independent entrepreneurs, we have invented the concept of hybrid warfare. We work with Russia, but we don't pay for security services. A hybrid war feeds on different ways: military, diplomatic and communication. I do the latter. “And then there is the Belgian, the activist Luc Michel, with whom it all started. He, together with the ideologue Jean Thiriart (…) with the organization of the elections, shaped the instruments of the reconquest of the Soviet empire and created a space, from Lisbon to Vladivostok”. Michel is delighted with the results of the last referendums in the People's Republics of Luhansk, Donetsk,
* NOTE 2
Lire ausi :
Esquisse de la guerre hybride. L’action de Luc Michel en tant qu’ ‘entrepreneur géopolitique indépendant’
https://www.palestine-solidarite.fr/esquisse-de-la-guerre-hybride-ix-mon-action-en-tant-qu-entrepreneur-independant/
* NOTE 3
Une précision. Les politologues sérieux, pas les flics de la pensée politique des Universités franco-belges (qui sont souvent des flics tout court, correspondant des polices politiques), classent dans une même catégorie, qu’ils nomment le « National-communisme », des mouvements politiques comme le KPRF russe, le régime de LUKASHENKO au Belarus ou encore le SPS de MILOSEVIC ou la JUL, la « Gauche Unie Yougoslave » de Mirjana MARKOVIC. ET bien entendu notre PCN, qui idéologiquement et politiquement, les a tous précédé de presque une décennie. Lorsque nous étions représentés au Parlement Wallon, en Belgique, dans les Années 1996-98, la questure nous avait étiquetés «national-communistes» (le FN y était étiqueté « extrême-droite »). En 1996-98, nous avions des élus, dont un député, au Parlement Wallon, au Parlement de la Communauté française de Belgique et de 1996 au 1999 au Conseil provincial du Hainaut.
* NOTE 4
« Une tentative du même M. THIRIART (la Jeune-Europe des années 60) a essuyé un échec. Au début des années 80 ses adhérents ont fait une nouvelle tentative: le PCN a été fondé en Belgique (…) Le parti des adhérents de M. THIRIART c’est quelque chose dans le genre de l’Internationale de Marx (…) (A. IVANOV dans ROUSSKI VESTNIK, « Les idées de Jean Thiriart: un commentaire nécessaire », Moscou, septembre 1992).
# ЕВРАЗИЙСКИЙ СОВЕТ ЗА ДЕМОКРАТИЮ И ВЫБОРЫ (ЕСДВ)/
EURASIAN OBSERVATORY FOR DEMOCRACY & ELECTIONS (EODE):
https://www.eode.org/
https://www.facebook.com/groups/EODE.Eurasia.Africa/